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production

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La production industrielle. 

Organisation des services      L'analyse des valeurs selon Miles

Personnalisation du produit point d'équilibre      Formes d'aménagement

Le MRP      Le JAT      Le TQM      La roue de Deming      Le CIM

programme linéaire planification statique. 272.89Ko (279443 octets)

évolution modèles productifs[3] introduction

gestion_de_productioncours02-03. rentabilité. PDF 13.49Ko (13817 octets)

../management/classification des employés travail FAB carton. PDF Classification des postes de travail dans une fabrique de carton. 

Un peu de lecture :

../informatique/NTIC data warehouse .PDF Document Adobe Acrobat Document des spécialistes qui indique notamment l'importance de constituer des valeurs de base de donnée sur les diverses mémoires d'entreprise que l'homme ne peut spontanément rendre en temps opportun. Explication sur : ERP, EDI, GroupeWare, Internet, Intranet, Knowledge Management, Réalité virtuelle, Workflow, Ged ou Geide et application des NTIC.

Ordonnancement et Planification Avancée Présentation Microsoft PowerPoint 1608.50Ko (1647104 octets)

index_advanced_planning_system New  production_logistique_aps  11/07/2003

Liens en  progiciel  de production et supply chain page annexe

Courriel d’internaute : documentation sur le taux de couverture, formule explications avantages et limites, et sur le calcul des mini et maxi. sur site 28/09/2003

 

 

Page parent [ Kaïzen ]

Fichier Annexe : Les 5 s  HTM

| ERP progiciels/ERP adoption mise en place |

progiciels ERP e-business

gestion équipement. 1965.27Ko (2012438 octets)

 

[ntic systèmes ] New En cour. Technologies de l'information et de la communication

Liens utiles APS, ERP, Supply Chain, etc... cliquez ici SVP

  Organisation des directives de CPFR, (Collaborative Planning Forecasting and Replenishment) processus d'intégration globale de la chaîne d'approvisionnement en cours d'introduction sur site, le 26/10/2003

 

machines sécurité normes 29/05/2003

guide_securite_machines et aide_directive_securite_machines  21/06/2003

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[ normes production ISA ]

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Contrefaçons. Fighting the Fakes (Anglais)
Effective strategies for mitigating the risks of counterfeit parts
By Andrew K. Reese, with Rory King
April 201
1 Site le 10.09.2011

Courriel, Recherche des images, des tableau pouvant m'aider dans la mise en place des 5S merci pour votre réponse. 30/05/2005


Page annexe: masse customization_one to one personnalisation-sur le web 
Site 21.03.2006

Maintenance Productive

Releve et mesure du TRS - Total Productive Maintenance http://chohmann.free.fr/maintenance/releve_trs.htm  
Les composants du TRS et Les composants du TRS 2

 

L’implantation des ERP et ingénierie du changement : Les déterminants de la satisfaction des utilisateurs d’un ERP.

 Page annexe
Imen MAALOUL

Sur site 22.03.2006

Nouveau produit, section nouv. électronique Barrières de sécurité optoélectroniques 

[économie actualité code de bonne conduite  ] best practice 8/12/02 page annexe

Organisation des services

Le service des études élabore les plans du produit, le service des méthodes, le processus de production... Les entreprises essayent toutefois aujourd'hui de décloisonner ces services pour gagner du temps et réduire les risques d'erreurs.

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L'analyse de la valeur

LES SEPT PHASES DE L'ANALYSE DE LA VALEUR SELON MILES

Ø    PHASE 1 : Orientation de l'action (fixation des objectifs et de la démarche)

Ø    PHASE 2 : Recherche d'informations (en interne et en externe)    

Ø    PHASE 3 : Analyse des fonctions et des coûts (rédaction du cahier des charges fonctionnel)  

C'est cette phase qui constitue la véritable originalité de la méthode. Elle consiste en effet à décomposer le produit en fonctions (de service, techniques) et à chiffrer, lorsque c'est possible, la valeur et le coût de chacune des fonctions

Ø    PHASE 4 : Recherche d'idées (concernant chacune des fonctions de service du produit)  

Ø    PHASE 5 : Etude, évaluation des idées et sélection des solutions applicables  

Ø    PHASE 6 : Bilan prévisionnel des différentes solutions (avec recommandations du groupe d'analyse de la valeur à destination des décideurs)  

Ø    PHASE 7 : Réalisation des solutions et bilan définitif

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LE DILEMME STANDARDISATION/PERSONNALISATION ET LE POINT D'EQUILIBRE DU SYSTEME

Les entreprises doivent aujourd'hui faire face à une demande de produits variés. Mais le moyen le plus économique de fabriquer un article reste la longue série de produits standardisés. Il s'agit donc, pour les entreprises de trouver un juste équilibre entre une partie amont gérée de façon assez traditionnelle (standardisation, stockage) et une partie avale très flexible, pilotée par l'aval (en juste-à-temps généralement). 

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FORMES D'AMENAGEMENT

Dans les industries d'assemblage on oppose deux types d'aménagements : l'aménagement en ligne et l'aménagement en U. Dans le premier cas, le plus traditionnel et le plus répandu, les postes de travail sont disposés les uns derrière les

 autres "en ligne droite". Il a le mérite de la simplicité. Le second est apparu plus récemment. Les postes de travail sont alors disposés selon une courbe formant un virage à 180°. Son principal avantage est de permettre un accès à des stocks centralisés pour les composants standards sans trop accroître les distances lieu de stockage-poste de travail. 

   

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LE MRP

Le MRP est une méthode de planification des besoins en composants et pièces fondée sur le principe de demande dépendante. Elle est basée sur la nomenclature des produits. Chaque produit est en effet constitué d'un certain nombre de sous-ensembles, eux-mêmes constituées de sous sous-ensembles et de pièces. On peut constituer une structure arborescente, faisant apparaître les différentes pièces et sous-ensembles et les niveaux auxquels ils apparaissent. On peut ainsi relier à chaque produit un nombre précis d'articles indispensables à sa fabrication. On peut donc en déduire, pour une quantité commandée de produits finis, quelle quantité des différents articles et sous-ensembles il sera nécessaire de commander ou de fabriquer. Naturellement, les commandes peuvent être modulées en fonction de la taille optimale des lots. Le principe de remonter de l'aval vers l'amont est également utilisé pour déterminer les dates auxquelles il faudra avoir reconstitué les stocks de pièces. On peut facilement ajouter des stocks de sécurité, calculés avec les méthodes habituelles : les aléas portent sur la consommation du ou des produits principaux auxquels est rattaché l'article et sur les délais de fabrication ou de livraison.

  Avantages et limites

  Le premier avantage de ce système est de pouvoir assez facilement être informatisé . Il est même pratiquement obligatoire de le faire dès lors que l'on a à gérer un nombre important de références . Ce n'est pas un hasard si le "décollage" du MRP date d'une vingtaine d'années, au moment du développement des systèmes informatiques de gestion dans les entreprises . L'utilisation de logiciels de MRP permet alors de gérer parfaitement la modularité, dont on a vu en gestion de production qu'elle était la méthode idéale pour proposer un grand choix de produits à partir de composants relativement standardisés . Le système peut fonctionner même en cas d'accélération ou de ralentissement sensible de la demande . Enfin, il nécessite une gestion très pointue des stocks et surtout des nomenclatures, ce qui est à la fois un avantage (cela conduit à être plus rigoureux) et un inconvénient (par les risques que cela engendre) . Ainsi, l'absence de mise à jour d'une nomenclature conduira à une rupture de stock sur tous les composants impliqués à la fois sur le produit omis et sur d'autres . De même, l'existence de rebut peut tromper le système si un inventaire des stocks n'est pas régulièrement effectué. C'est aussi un système qui nécessite d'avoir un système de prévision fiable . Il peut certes reposer principalement ou uniquement sur des commandes fermes à condition que le système de production et les fournisseurs soient capables de répondre dans des délais très brefs (un effort dans ce sens ne peut toutefois être que bénéfique) . Il ne peut convenir que pour les produits qui peuvent être mis en nomenclature . Les produits trop personnalisés (sur-mesure) et la multiplication des options (en-dehors des éléments standards) rendent plus difficile l'application d'un tel système . Enfin, il peut conduire à une multiplication des stocks de sécurité, ce qui peut être dangereux en cas de modification de la demande en aval (ou de modification des produits : on constitue en effet des stocks de sécurité à chaque niveau de l'arborescence).

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Le juste-à-temps

Le juste-à-temps est, comme son nom l'indique une méthode visant à éliminer tout stock inutile : l'article doit arriver à celui qui va l'utiliser juste au moment où il va en avoir besoin. On dira que les unités de production qui utilisent le JAT comme méthode de gestion des stocks fonctionnent en flux tendus. Les stocks intermédiaires doivent presque disparaître (dans la pratique, il faut tout de même tenir compte d'une taille minimale des lots). Le système le plus utilisé pour parvenir à ce résultat a été inventé à la fin des année cinquante dans les usines Toyota au Japon. Il s'agit de la méthode du kanban.

è  Le circuit est le suivant :

o       Les postes de travail sont approvisionnés avec des emballages dotés d'étiquettes détachables ou cartes kanban.

o       Lorsqu'ils utilisent l'un de ces emballages, les opérateurs détachent l'étiquette et la mettent sur un tableau.

o       Ce tableau est constitué de plusieurs zones, informant les services d'approvisionnement de la nécessité et de l'urgence du réapprovisionnement (au moins deux zones : lancer, ne pas lancer, souvent trois : ne pas lancer, à réapprovisionner, à réapprovisionner d'urgence).

o       Le service d'approvisionnement relève alors les cartes kanban et fournit le nombre de colis de pièces correspondant au poste de travail.

Au départ, les résultats en matière de stocks pourraient paraître relativement peu évidents. Il est tout à fait possible d'employer les modèles de calcul déjà étudiés avec cette méthode. Le nombre de cases de la zone d'accumulation correspond en effet à la quantité économique rapportée au nombre de pièces par colis. Le nombre de cases de la zone de lancement correspond à la consommation durant le délai de réapprovisionnement plus un stock de sécurité pour tenir compte des aléas sur cette consommation et sur ces délais, toujours rapporté à la quantité contenue dans un emballage type. Dans la pratique, toutefois, le raccourcissement des délais de réapprovisionnement (en interne comme en externe) permet de réduire progressivement le niveau des stocks.

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Avantages et limites

Ce système a d'indubitables avantages. Tout d'abord, c'est probablement celui qui donne les résultats les plus spectaculaires en matière de réduction des stocks (l'un des exemples les plus spectaculaires : de 45 jours à 4 jours chez Renault-FASA à Vallalolid). Il s'accompagne en effet d'une réduction du cycle de production et donc des délais d'approvisionnement. Il est donc indissociable d'une gestion de production ayant ce raccourcissement comme objectif prioritaire. Ce n'est pas un hasard si c'est dans usines de Toyota qu'ont également été mis au point les systèmes de modification rapide des réglages des machines (système SMED : Single Minute Exchange of Die). Shingo explique ainsi "les réglages rapides font perdre toute signification aux calculs des séries économiques, puisqu'il n'y a plus besoin de trouver un compromis entre les avantages de la production par lots importants, et les inconvénients d'une augmentation des stocks". De fait, même en continuant à utiliser la formule de Wilson, la quantité économique diminue (le coût de lancement est au numérateur), de même que la consommation pendant le délai de réapprovisionnement. De même, ce système ne peut être efficace que dans un contexte de grande fiabilité des fournisseurs et de l'appareil de production. Il est donc tout aussi indissociable, pour les Japonais, des politiques de qualité totale. On pourrait utiliser l'image de l'eau d'une rivière : lorsque son niveau baisse, elle dévoile les cailloux qui jonchent son lit. Il en est de même des stocks. Cette méthode a aussi comme mérite d'impliquer plus directement les opérateurs dans la gestion des stocks (ils sont intégrés dans le flux d'informations, même s'ils ont, au bout du compte peu d'autonomie). Enfin, le principal avantage de cette méthode est d'être très économe en moyens : elle ne nécessite pas de système informatique complexe pour fonctionner (mais, si elle peut être améliorer par des systèmes des code barre) et ménage même le temps des services d'approvisionnement (le chariot qui sert amener les pièces, sert aussi au retour à remporter les kanbans des tableaux voisins). Elle met aussi une pression considérable sur l'ensemble de chaîne d'approvisionnement (y compris et peut être surtout les fournisseurs et les transporteurs), ce qui est à la fois un avantage (efficacité interne) et un inconvénient (externalités). Elle est donc risquée - tout aléa interrompt rapidement le processus - et peut engendrer des dysfonctionnements lors de sa mise en œuvre (aboutissant à des ruptures fréquentes ou, par peur de manquer, à une… augmentation des stocks, ce qui est pour le moins paradoxale : les services d'approvisionnements, par peur de la rupture alimentent les postes même si on se trouve dans la zone verte du kanban).

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Qu'est-ce que la qualité totale ?

                La qualité totale est une méthode cherchant à améliorer de façon continue la qualité des produits de l'entreprise. Elle vise à éliminer le défaut dans tout le processus. C'est le fameux "Zéro défaut", ou "Zéro dysfonctionnement" (défaut, panne, stock, délai, papier).

                Ici, "tout le processus" signifie non seulement le développement et la production du produit, mais aussi tous les processus qui permettent de prendre les bonnes décisions et d'en accélérer la mise en oeuvre. C'est donc l'ensemble de l'entreprise qui est concerné par un processus de qualité totale et même, au-delà, les fournisseurs et les distributeurs des produits de l'entreprise, et non la seule fonction production.

                Elle est basée sur une approche par la valeur : le but final est la qualité du produit, dans le sens où il doit satisfaire  le consommateur le mieux possible (donc répondre à un besoin), mais la notion de valeur intègre celle de coût, ce qui signifie que l'amélioration de la qualité n'est intéressante que si elle s'obtient pour des coûts raisonnables.

       Ceci ne peut être mis en oeuvre que par une démarche globale qui intègre la qualité du processus de fabrication, la qualité des prestations des fournisseurs et celle de l'ensemble des services rendus au client et liés au produit, tels que la livraison, les supports d'utilisation. Elle vise concrètement à améliorer continuellement (et non par à-coups) qualité, prix et délais, alors qu'auparavant on avait tendance à se  polariser sur tel ou tel aspect au détriment des autres. Cette volonté de progression continue a été représentée par DEMING comme une roue progressant sur une pente ascendante avec comme base les grandes étapes définies par ISHIKAWA : Plan (définition du but et des moyens), Do (instruire et entraîner puis mettre à exécution), Check (contrôler les résultats), Act (prendre des mesures correctives) .

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LA ROUE DE DEMING    

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Le CIM (Computer Integrated Manufacturing)

Il s'agit d'intégrer au sein du même système l'ensemble des flux informationnels liés à la conception et à la fabrication du produit. On constate que c'est la base de données technique, comprenant les gammes et nomenclatures qui est à la base du système. Elle est directement alimentée par les services de conception (études, méthodes) et de planification (prévisions, commandes). Elle est utilisée aussi bien pour la gestion des approvisionnements en amont, des commandes en aval (engagements sur les délais) et directement par les services de fabrication.

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15.05.2009 16:00:14

                                                                                         

propose une visite interactive sur des sites traitant plus largement du sujet : Production. Dont voici un :

  http://membres.lycos.fr/hconline/engineer_fr.htm Christian HOHMANN Consultant chargé des thèmes "organisation" et "performance industrielle" Cadre opérationnel passé au conseil, étais responsable nouveaux projets et service après-vente européen pour les Graveurs de CD, Responsable de la Production et Ingénierie chez Yamaha Electronique (produits grand public).

 Mass Customization

One to one et personnalisation sur Internet
Principes du One to One

Le sur-mesure de masse sur Internet
(mass customization)

Et bien d'autres introductifs.
Crédit: http:// en bas du texte page ci-dessous
Page annexe: masse customization_one to one personnalisation-sur le web 
Site 21.03.2006

Ce dossier est réalisé en prenant pour point de départ le livre de Don Peppers et Martha Rogers consacré au marketing one to one qui constitue une référence incontournable sur le sujet.....

Dans l'optique de la délivrance d'un produit ou service, le sur-mesure de masse est parfois remplacé par le terme de personnalisation à grande échelle. Une distinction
Echantillon de document:

masscustomization\doss37tendances082000.pdf

 Brève définition: mass customization (mercatique): Et bien PLUS sur ce DICO:

Les mots des affaires, de l'informatique et de l'internet

http://www.presse-francophone.org/apfa/Lexique/Lexique.htm

http://www.presse-francophone.org/apfa/Defi/P/PERSONN4.htm

 

Liens utiles APS, ERP, Supply Chain, etc..

 

http://erp.softwareresearchtools.com/erp/index.asp

Pour les personnes concernées dans le domaine de l'achat industrielle www.achats-industriels.com

un exemple de la Newsletter: partnr_newsletter/newsinfosachats-industriels.htm   sur site le 14/11/2003

Liens autres :

La Classification internationale des produits et des services aux fins de l'enregistrement des marques (dénommée "classification de Nice")

http://www.wipo.org/

http://www.wipo.org/classifications/fulltext/nice8/frnpre.htm

 

Progiciels.net

http://www.progiciels.net/www/

Page spéciale du glossaire

Les principaux termes de la gestion industrielle et de l'informatique technique.  En ligne 10/07/2004

 

 



 

Liens publicitaires

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